lundi 3 août 2009

Un des nombreux jolis objets de cousin Luc. Il possède toutes sortes d'objets utilitaires, colorés, jouissifs, rutilants. À peine avais-je le pied dans sa porte d'entrée que ce grand gaillard de 38 ans s'est vite transformé en gamin en déployant devant moi tous ces trésors, tous plus impressionnants les uns que les autres.

Vous savez, le kid qui vous traîne par la main pour vous montrer sa chambre/salle de jeux?

Il y a certes quelque chose de réconfortant dans le fait de posséder. C'est si apaisant. Rassurant.

Posséder: Avoir à soi, disposer en maître de (quelque chose), et pouvoir en tirer profit et jouissance.

C'est pas mal ça. Et pensez à l'anticipation de l'achat, celui qu'on a mûri longuement avant de se décider à aligner les billets; n'y a-t-il pas quelque chose d'un plaisir juvénile à ranimer là-dedans???

L'acte de posséder comble, remplit, soulage.

Et imaginez lorsqu'il est question de posséder quelqu'un... Bien sûr, ce sens-ci est purement métaphorique, mais infiniment plus puissant.

Bon, je m'égare, encore.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire